À l’occasion de la Journée mondiale du bonheur et du bien-être
Selon une étude Ifop sur le ressenti et les attentes des cadres vis-à-vis de la QVT (Qualité de Vie au Travail), près de 6 cadres sur 10 considèrent que leur entreprise se préoccupe du bien-être des collaborateurs, avec néanmoins des mesures pour y contribuer disparates.
77 % déclarent « qu’au moins une action » en faveur de la QVT a été effectuée au sein de leur organisation
Les mesures plébiscitées pour contribuer à un plus grand épanouissement au travail :
- 83 % pour le télétravail et la présence « d’équipements ou d’espaces dédiés au bien-être » (salles de sport, de jeux ou de repos)
- 68 % l’intervention de professionnels extérieurs et
- 58 % sont favorables à la présence d’un chief happiness officer
Et pourtant, dans la réalité ; seulement 55% des cadres interrogés peuvent faire du télétravail et seulement 37% disposent d’équipements / espaces dédiés au bien-être des collaborateurs.
Quant à la taille et le secteur d’activité, ce sont des critères clivants. Considèrent que leur entreprise se préoccupe de leur bien-être :
- 78% dans les microentreprises
- 61% dans les PME
- 59% dans le privé
- 45% dans l’administration
- 44 % dans le public
Cela ne m'étonne pas, c'est ce que je constate sur le terrain depuis des années, intervenant dans tous types d'organisations. Plus l'entreprise est petite, plus l'humain est écouté, en général...
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