Je veux être heureux au travail !

Faites de votre rêve un métier !

Lancement de l'excellente plateforme VIEMONJOB !

C’est la première plateforme digitale innovante permettant à un particulier de tester un métier pendant une semaine.

C’est aussi une start-up française née de l’initiative de deux femmes entrepreneurs de Boulogne-Billancourt.

POUR QUI ?

VIEMONJOB s'adresse aux personnes pensant à une reconversion professionnelle, vivant un burn-out, bore-out, mommy-out, aux chercheurs d’emploi, aux seniors, à ceux qui ont du mal à se réinsérer dans la vie active, aux jeunes qui n’ont pas de réseau professionnel.

OÙ ?

Partout en France (international très prochainement).

COMMENT ÇA MARCHE ?

VIEMONJOB met en relation un particulier avec un professionnel (commerçants, artisans, professions libérales ou entreprise) qui lui fera découvrir tous les aspects de son métier.

POURQUOI ?

VIEMONJOB permet d’essayer un métier avant de se lancer dans une reconversion professionnelle, une reprise d’études, et éventuellement un changement de vie.

Une semaine d’immersion : c’est simple, pragmatique et efficace pour redynamiser l’emploi.

À QUEL PRIX ?

Le particulier paye sa semaine de découverte du métier qu’il a choisi (entre 200 et 500€ la semaine) au professionnel référencé sur le site viemonjob.com

 

VIEMONJOB s'inscrit dans l’économie sociale et solidaire, le digital, et l'économie collaborative.

 

Bravo pour cette plateforme si utile pour vous aider à trouver votre voie et vous lancer !

Benenova ou le bénévolat facilité !

Se sentir utile et développer ses compétences

Benenova, c'est un concept de bénévolat redoutablement simple : des actions de terrain pour agir quand vous le pouvez, en toute convivialité, et avec l'assurance d'être à la fois bien accueilli et 100% utile.

Vous choisissez dans le calendrier l'action qui vous plait en fonction de vos disponibilités : 2 clics et le tour est joué ! Vous êtes libre et n'aurez qu'à rejoindre l'équipe sur le terrain le jour J, attendu par votre référent bénévole !

Parallèlement, ils travaillent avec des associations partenaires pour que chaque action soit bien calibrée (accueil, durée, logistique, nombre de personnes, etc) et réponde aux besoins sociaux et environnementaux identifiés.

Leur rêve ? Une société dans laquelle chacun a conscience qu'il dispose des moyens pour aider l'autre et passer à l'action !! Et, pourquoi pas, que cela devienne une habitude !

L'association a lancé ses premières actions pilotes en novembre 2013 en Ile-de-France, puis en avril 2014 à Nantes. Fin novembre 2015, 1800 missions avaient été menées !

 

Vous pourrez ainsi vous sentir utile et découvrir ou développer des compétences et des talents...

 

Aller sur leur site ou sur leur page Facebook

 

Belles missions de bénévolat :)

Métier : designer global

Bonjour Sébastien Verdevoye, parlez-nous de votre métier :

Je suis designer global et j'ai créé ma société en 2011. Mon métier consiste à adapter les éléments aux nouveaux besoins, proposer des solutions innovantes ou créer de nouvelles possibilités.

Globalement, le métier consiste à assembler de manière cohérente des formes, des fonctions, des couleurs, des matériaux... pour transmettre des concepts, des ressentis, des identités, des messages...  Aussi, je focalise mon expertise à travers 3 sous-domaines du design :

- Communication visuelle

Création de supports de communication visuelle (marque, logo, webdesign, plaquette d'entreprise, catalogue, carte de visite...)

- Design produit & packaging

Création d'objet et packaging avec prise en compte de diverses contraintes (esthétique, technique, ergonomie, environnement...)

- Architecture d'intérieur

Consiste en l’agencement d’un espace en harmonisant la fonctionnalité, les valeurs de la marque concernée, l’esthétique et l’univers souhaité par le client.

 

En quoi consiste-t-il ? Racontez-nous une journée type...

Je commence toujours ma journée par un café bien noir ! puis je consulte toujours ma boite de réception mail. Ensuite, je peux avoir des entretiens chez des prospects ou chez un client pour faire le point sur le projet, des réunions de travail via mon réseau professionnel.

Au bureau, je fais le point et/ou travaille sur les réalisations en cours, relance certains clients / sous-traitants / partenaires / prospects....

Il peut également arriver que j'entame une phase de création de supports de communication pour mon entreprise, que je mette mon site internet à jour, que je partage du contenu sur mes différents profils sociaux ou que je m'informe des dernières tendances et nouveautés (salons, blog, livre, magazine...).

 Qu'est-ce qui vous motive le plus dans votre métier ?

C'est une discipline créative qui sert avant tout à améliorer la vie des personnes et permet de découvrir et d'analyser beaucoup de domaines.

Le métier reste passionnant et remarquablement variés et c'est toujours gratifiant de découvrir et de pouvoir "toucher" un objet que l'on a dessiné avec une simple feuille et un crayon.

 

Quelles actions avez-vous mises en place pour le réaliser dans les meilleures conditions?

J'ai passé du temps à bien organiser mes plannings et mon poste de travail.

J'ai pris soin de m'entourer d'experts (photographe, architecte, fabricant...) bien complémentaires à mon métier et avec lesquels je travaille régulièrement. Le plus important sans doute a été de me créer un véritable réseau professionnel solide qui me permet aujourd'hui d'avoir assez régulièrement de nouveaux projets.  

Cependant, je me rends tout de même souvent à des salons, rencontres et événements professionnels pour découvrir les nouvelles tendances et technologies ainsi que rencontrer d'autres entreprises.

 

Parlez-nous du plaisir que vous avez à réaliser ce métier:

Plaisir de découvrir de nouveaux métiers et de nouvelles choses à travers une méthodologie d'analyse et de design.

J'éprouve également beaucoup de satisfaction à travailler sur de nouvelles problématiques techniques ou ergonomiques à travers certaines missions. Trouver et mettre en forme des solutions innovantes pour mes clients restent toujours très plaisant.

Aussi, j'apprécie beaucoup dans mon métier la phase de début de projet ou je dois découvrir, analyser et comprendre  les utilisateurs, le public ciblé et l'environnement du projet en question.

Quels sont vos clients ?

Mes clients sont en majorité en France bien que j'ai parfaitement déjà travaillé à distance avec quelques clients à l'étranger (Belgique, Chine, Australie, Allemagne, Suisse...).

Ils sont également très variés et sont aussi bien TPE, PME/PMI, Grand Compte que Créateur d'entreprise.

Que leur apportez-vous ?

Une compréhension globale des avantages à intégrer le design dans leurs entreprises.

Que cela soit un logo, un espace d'accueil ou un produit, la première impression est toujours la plus importante et nous n'avons pas de seconde chance pour faire une bonne première impression !

Donner un caractère professionnel et cohérent à son entreprise et apporter de l'innovation à travers ses services ou ses produits est devenu indispensable pour se différencier et se développer.

Les objets, espaces et supports de communication ont besoin de poésie, de personnalité afin de créer un jeu de séduction, une résonance avec les personnes.

 

Un mot pour ceux qui souhaitent exercer le même métier ?

Ne pas compter ses heures, être curieux et toujours chercher à apprendre et à optimiser son travail.

Qu'ils persévèrent en s'investissant à 200%, qu'ils soient curieux de tout ce qui les entoure et surtout qu'ils cultivent leurs passions.

 

Merci beaucoup Sébastien !

Le contacter :   

Sébastien Verdevoye - SV DESIGN 

Design global - 4 quai Perrache 69002 Lyon

www.sv-design.fr son mail : [email protected]

téléphone 09 53 53 82 97 

Son compte Twitter - sa page Facebook - son profil Linkedin et son profil Viadéo

La mixité des métiers

 Une belle vidéo courte sur le sujet, cessons ces préjugés de toutes sorte aussi stupides que stérile

Bravo pour l'initiative, l'ouverture d'esprit nous grandit !

Un site fun pour trouver le métier qui vous correspond !

Lancement du site Choisirlartisanat.fr

Ce site internet, qui s'adresse aux 18-25 ans, propose un jeu à ses utilisateurs.

Vous disposez de 30 secondes pour choisir, au sein d'une liste de mots, les 5 qui vous correspondent le plus.. et vous pouvez rejouer

En fonction des mots sélectionnés, des professions artisanales apparaissent, illustrées par un témoignage vidéo et des adresses utiles géolocalisées.

Vous pouvez aussi laisser faire le hasard avec la fonction Random

Ou simplement allez voir les nombreux métiers de l'artisanat

Pour jouer, cliquer ici !

 

Métier : Digital Strategist !

Bonjour Cyril Bladier, parlez-nous de votre métier:

Je devrais plutôt dire mes métiers. Je me suis créé mon activité actuelle sur-mesure et j'exerce plusieurs métiers. Je suis consultant, Directeur d'une agence digitale, professeur, conférencier, blogueur et écrivain. Cela peut paraître très disparate de l'extérieur mais c'est en fait très cohérent. Les conférences, livres et articles de blogs m'apportent de la notoriété et de la reconnaissance qui mènent à des missions de conseil qui peuvent générer des demandes de sites Internet, d'applications mobiles, de référencement ou d'opérations de marketing digital.

 

En quoi consiste-t-il ? Racontez-nous une journée type...

J'essaie de commencer ma journée par publier un article que je vais publier sur mon blog et partager sur différents réseaux sociaux. Ensuite, je peux avoir des rendez-vous chez des prospects ou chez des clients existants pour détecter de nouvelles opportunités ou faire le point sur les dossiers existants. Si je suis au bureau, je me tiens informé des dernières tendances de mon métier, je fais le point avec mes partenaires sur les dossiers en cours, je travaille sur les missions qui me sont confiées, je prépare mes cours et conférences, je partage du contenu tiers sur mes profils sociaux, je réponds aux invitations qui me sont lancées ou aux réactions que mes articles ont générées.

Il n'y a vraiment pas 2 journées qui se ressemblent.

 

Qu'est-ce qui vous motive le plus dans votre métier?

D'une part, j'ai la chance d'avoir choisi ce que je fais. Je me suis créé une activité autour de métiers qui m'intéressent. Je ne fais rien par obligation et encore moins par contrainte. Tout répond à un choix.

D'autre part, apporter des solutions qui répondent à des problématiques de clients; transmettre un savoir à des étudiants; aider des cadres et dirigeants en transition à retrouver un emploi est très enrichissant.

 

Quelles actions avez-vous mises en place pour le réaliser dans les meilleures conditions?

J'ai mis du temps à trouver des sources d'informations fiables et pertinentes qui m'aident à me tenir à jour.

Je vais régulièrement à des évènements professionnels pour découvrir de nouvelles offres, de nouveaux services et rencontrer d'autres spécialistes.

Enfin et surtout, avec le temps j'ai réussi à m'entourer d'experts chacun très pointus de leurs domaines respectifs et avec lesquels je travaille régulièrement.

 

Parlez-nous du plaisir que vous avez à réaliser ce métier:

Des plaisirs. Plaisir de faire ce qui m'intéresse et de pouvoir choisir. Plaisir de travailler sur des problématiques passionnantes avec des partenaires brillants. Plaisir de construire des solutions innovantes à nos clients. Plaisir d'aider un cadre à retrouver un poste. Plaisir d'avoir inspiré des entrepreneurs à créer leur entreprise. Plaisir de transmettre à travers des conférences. Plaisir d'être contacté par des experts américains pour intervenir sur leurs blogs.

 

Quels sont vos clients ?

Ils sont très divers. Je ne prospecte pas (au sens strict du terme). Mes clients viennent suite à mes articles, suite à mes conférences, sur recommandation. Je ne choisis pas nécessairement qui va me contacter. J'ai pour clients des cadres ou dirigeants qui veulent travailler leur professional branding; des PME et de grands comptes publics et privés.

 

Que leur apportez-vous ?

Mon expertise : une compréhension globale des enjeux du digital et des outils correspondant et de la manière dont ils ont et vont avoir un impact sur leurs carrières et leurs business. J'essaie aussi de leur apporter une réponse différente et innovante. Je ne cherche pas nécessairement à répliquer ce que d'autres ont fait ailleurs.

 

Un mot pour ceux qui souhaitent exercer le même métier ?

Travailler. Ne pas compter ses heures. Etre curieux. Toujours chercher à apprendre.

 

Merci beaucoup Cyril !

 

Cyril est aussi l'auteur de La boite à outils des réseaux sociaux 

Le contacter :  

Cyril Bladier Digital Strategist

Business on Line

68 bd Garibaldi 75015 Paris

[email protected]

0950162198 

@businesson_line

@cyril_bladier

https://www.linkedin.com/in/cyrilbladier

MAPTOOMI, le réseau social de l’employabilité

Naissance d'un un réseau social facilitateur d’employabilité

C'est une solution 100% iconomique, qui est un facilitateur de l’emploi et de la montée en compétences.

MAPTOOMI sert les intérêts de tous les acteurs économiques :

• 1) les demandeurs d’emploi / apporteurs de compétences
• 2) les entreprises et établissements employeurs privés, publics, associatifs, consulaires, etc.
• 3) les établissements scolaires, les centres de formation et d’apprentissage
• 4) les intermédiaires acteurs de l’emploi : pôle emploi...

Une solution 100% iconomique, qui est un facilitateur de l’emploi et de la montée en compétences.

MAPTOOMI a été créé par Gérard Roudaut, précédemment concepteur de MAPORIENTATION et CVMAP. Il est Délégue général et Directeur de la publication La Maison de l’orientation. Il a aussi participé à la création de la revue l’Etudiant.

Vous pouvez découvrir la version de démonstration MAPTOOMI : www.maptoomi.com

Si vous recherchez un  poste à côté de chez vous, c'est là où il faut cliquer :)

Analyse sur les emplois de demain

La conclusion d'une analyse sur les emplois de demain

En choisissant de s’intéresser aux emplois de l’avenir, la délégation avait l’idée, peut-être un peu naïve, de dresser une sorte de panorama des secteurs d’activités qui embaucheront demain, dans notre pays, les enfants qui sont actuellement en cours de formation. 
Dans le contexte actuel d’un taux de chômage élevé, qui affecte tout particulièrement les jeunes, elle espérait y trouver des signaux plus optimistes à l’intention des générations qui se présenteront, d’ici à dix ou quinze ans, sur le marché du travail.
Son objectif était d’essayer de dégager quelques grandes tendances et de s’assurer que le système de formation, initiale ou continue, se mettait déjà en phase avec les futurs besoins de recrutement.

Depuis mars 2013, elle a procédé à trente et une auditions, entendu cinquante-neuf spécialistes, conduit des entretiens dans la Vienne, effectué un déplacement auprès des institutions européennes à Bruxelles et une visite en Allemagne à Cologne et Bonn, notamment auprès de l’institut fédéral
allemand de la formation professionnelle.

Sa première conclusion est que ce n’est pas d’un manque de documentation sur les emplois de l’avenir que nous souffrons. Ce serait même plutôt de l’excès inverse : nous disposons d’une masse considérable de données, de notes, de rapports, d’études en tous genres provenant des innombrables acteurs qui interviennent, à des titres divers, dans le secteur de l’emploi ou de la formation.

D’où une interrogation : est-il vraiment utile de mobiliser autant d’énergie pour enrichir encore ce volume considérable, et néanmoins difficilement exploitable pour les jeunes ou leurs familles, d’informations ?

Deuxième constatation : tous ces interlocuteurs, chacun dans leur sphère respective de compétences, extrapolent en effet le potentiel de tel ou tel secteur d’emploi. Leur raisonnement est parfois étayé de manière très scientifique, sur la base de statistiques par exemple, ou bien il procède de manière plus empirique, en fonction des activités qui sont dans « l’air du temps ». Mais quelles que soient leurs modalités de réflexion, ce ne sont jamais tout à fait les mêmes secteurs qui se détachent comme prometteurs.

Se dégagent toutefois deux tendances lourdes qu’on retrouve dans toutes les analyses :

- en faveur des nouvelles technologies

– l’informatique notamment – 
- et de tout ce qui relève, au sens large, de l’aide à la personne, en raison du vieillissement attendu de la population française

Mais pour le reste, qu’il s’agisse par exemple des emplois industriels, des professions intermédiaires, des métiers verts liés au développement durable, les appréciations sont contrastées et parfois divergentes. Ce qui ne simplifie pas la tâche de l’observateur, ni d’ailleurs celle des parents qui voudraient aider à la future orientation professionnelle de leurs enfants.

La troisième observation, et elle conduit à faire preuve d’humilité, c’est qu’en dépit de toutes ces analyses détaillées parfois à l’unité près, on ignore en fait largement quels seront les métiers de demain. Avec l’évolution des techniques, des technologies, du numérique, de la robotique et d’autres encore, entre un tiers et 70 % de ces métiers d’avenir – là de nouveau, les chiffres divergent – sont encore inconnus aujourd’hui. Ils consisteront soit en des emplois tout à fait nouveaux, soit en des évolutions du contenu des emplois existants qui en modifieront profondément l’exercice.

D’où la question du candide : comment peut-on se former aujourd’hui à des emplois dont on ignore à peu près tout ? Surtout si l’on ajoute que, avec l’accélération de la société et de la mondialisation, il est à peu près certain qu’une grande part de ce que l’on apprend aujourd’hui sera déjà obsolète deux ans plus tard.

La conclusion à en tirer est double :

1. d’abord, il faut s’attendre, et ces tendances sont déjà à l’œuvre, à une modification profonde des conditions dans lesquelles on travaillera demain : horaires, environnement de et dans l’entreprise, localisation des emplois, fractionnement des carrières, tout est en train de changer et il convient absolument d’intégrer cette dimension de mobilité à toute réflexion prospective en matière d’emplois ; 
2. ensuite, il faut remettre en question la nature des savoirs à enseigner aux enfants en cours de formation, pour qu’ils acquièrent ce concept barbare d’« employabilité » qui leur permettra, demain, d’entrer sur le marché du travail.

En gros, plutôt que de continuer à les former à des métiers très précis – qui peut-être n’existeront plus le moment venu –, ne faut-il pas leur inculquer des compétences transversales qu’ils sauront mobiliser quel que soit leur futur secteur d’exercice professionnel ? On pense par exemple à la maîtrise des langues étrangères et de l’informatique, à l’appréhension des enjeux de développement durable ou à la capacité à s’exprimer en public, à défendre un projet, à travailler en équipe. Il reviendrait ensuite à l’entreprise d’assurer la formation correspondant précisément aux compétences attendues.

La question se pose alors de l’adéquation de notre système éducatif à effectuer cette mutation, au moment où plusieurs enquêtes, et notamment Pisa qui compare, au sein des pays de l‘OCDE, les compétences des jeunes parvenus en fin de période d’obligation scolaire, mettent en lumière une
dramatique dégradation du niveau des jeunes Français.
De la même manière, il est apparu que le dispositif de formation professionnelle initiale des jeunes, comme celui de formation des demandeurs d’emploi, restait trop ignorant des besoins réels des entreprises et pouvait encore orienter les uns et les autres dans des voies professionnelles sans débouchés ou non opérationnelles. L’enseignement dual, mis en œuvre par exemple en Allemagne, est un bon exemple des liens à tisser entre le monde du travail et celui de la formation. De la même
manière, les grandes entreprises – Deutsche Telekom, Nestlé… – qui assurent elles-mêmes la formation d’apprentis contribuent à l’adéquation de l’offre aux besoins.

Enfin, quatrième préoccupation, ce qui est inquiétant c’est que bon nombre des difficultés soulevées par la délégation ne sont pas nouvelles. 

Que l’on parle de l’image de marque des cursus professionnels dans l’opinion publique, l’apprentissage notamment qui reste trop souvent un choix par défaut, que l’on évoque la pénurie de ressources dans les secteurs scientifiques ou de l’ingénierie, que l’on déplore la place trop restreinte des femmes dans certaines carrières, l’expatriation des jeunes diplômés, le taux élevé de décrochage scolaire ou les inégalités devant la formation tout au long de la vie, tous ces sujets et d’autres encore, bien qu’évoqués depuis longtemps, ne paraissent pas en voie d’amélioration. Que faut-il faire pour instituer un dispositif plus réactif et davantage en phase avec une société en pleine mutation ?

 

Sur la base de ce constat, la délégation préconise :

Pour rendre plus lisibles les perspectives immédiates : 

• de demander aux nombreuses structures publiques qui réalisent des projections en matière d’emploi d’établir des documents moins complexes, plus maniables et d’une lecture plus accessible ; 
• d’accroître la capacité d’accueil et l’orientation des effectifs dans les formations dédiées aux domaines déjà identifiés comme prometteurs, tels ceux de l’informatique ou l’ingénierie et ceux liés aux soins, y compris le secteur médical et médico-social ;
• de renforcer les liens entre le monde du travail et les étudiants, d’une part, et avec les structures en charge de la formation et du placement des demandeurs d’emploi, d’autre part, afin de mieux tenir compte des besoins en qualification des entreprises et des perspectives réelles d’embauche. 

 

Pour favoriser la réindustrialisation :

• d’anticiper les tendances à la réindustrialisation en encourageant le suivi de formations scientifiques non seulement dans les niveaux de qualification élevés mais aussi dans les professions intermédiaires ; 
• de continuer à promouvoir la féminisation des emplois en élargissant le spectre des secteurs d’activités susceptibles d’accueillir les femmes, sans exclure les carrières scientifiques où leur taux de présence ne correspond pas à leur niveau de réussite scolaire.

 

Pour préparer l’employabilité des générations futures :

• de généraliser le recours aux nouvelles technologies pédagogiques par l’éducation nationale en faisant porter l’effort dès les classes primaires ;

• d’ajouter aux savoirs à transmettre l’acquisition de compétences transversales et mobilisables dans plusieurs domaines futurs d’activité, en s’inspirant le cas échéant des modèles d’éducation étrangers plus performants ;

• de conforter la politique en faveur de la formation professionnelle duale et de créer des dispositifs efficaces permettant, par ce biais, de réintégrer dans des cursus opérationnels les décrocheurs scolaires.

Pour promouvoir des carrières plus évolutives :

• de veiller à l’efficacité du dispositif législatif dédié à la formation tout au long de la vie dans le sens de l’adaptabilité des carrières et d’en permettre l’accès effectif au plus grand nombre ; 
• d’encourager la mobilité, tant professionnelle, sociale que géographique, des travailleurs.

Lire le rapport !

 

Employabilité, transversalité, adaptation à des nouvelles manières de travailler, mobilité, gestion des compétences....

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Vous passez en quelques minutes un test sur vos capacités puis celui sur vos motivations et enfin un test correspondant à votre personnalité et à la fin vous avez une liste de 10 métiers très compatibles avec vous.

Reste à savoir si vous les trouvez en adéquation avec vos rêves ?!

Bons test :)

Pour passer le test sur le site !

Métier : Storyteller (Storytelleuse)

Bonjour Dominique Taste, parlez-nous de votre métier !

J’ai créé, il y a un an, TasteTelling, dont le nom est une contraction ou mot valise de mon nom de famille Taste et de storytelling. J’y propose mes services de storytelleuse pour relever les défis de communication interne et externe auxquels les entreprises doivent faire face aujourd’hui. Le développement rapide des réseaux sociaux et des nouvelles technologies a provoqué un changement complet dans notre perception des entreprises, des marques. Dans ce contexte de surinformation, je mets en place un storytelling attachant, personnalisé et contrôlé pour fédérer vos salariés, vos adhérents, vos clients ou vos candidats et les engager à vous « aimer », « partager », et à vous acheter.

 

En quoi consiste, par exemple, une journée type?

Il n’y a pas vraiment de journée type, mais des phases de travail type : prise de brief chez le client, recueil d’informations, réflexion, création de l’histoire, recherche des médias adaptés, rédaction de la proposition, réunion d’échanges, création, aller-retour avec le client, réalisation.

Parallèlement à ce travail orienté client, une part de mon temps est attribué aux relations commerciales, mais surtout à la veille, à la rédaction de mon blog et à la formation régulière aux nouvelles technologies. C’est un métier où il est très important d’être à l’affut des nouvelles tendances tout en connaissant bien les basiques de la construction d’un récit pérenne.

 

Pouvez-vous me citer des exemples de médias utilisés ?

Le storytelling nécessite le plus souvent de se déployer sur différents supports : images, vidéos, médias sociaux, webséries, print, support sonore voire jeux. Tout est possible à condition que ce soit en cohérence avec le propos et la cible visée.

 

Qu’est-ce qui vous motive dans votre métier ?

C’est un nouveau métier passionnant qui réunit heureusement les compétences de mes métiers précédents : documentaliste, conceptrice-rédactrice, consultante stratégie et scénariste et qui me permet de travailler dans des univers très variés.

Ce qui me motive le plus c’est l’échange, échange avec le client bien sûr, avec les collaborateurs en création et les partenaires technologiques. C’est souvent un processus de co-création qui s’établit ainsi et qui est très stimulant.

 

Parlez-nous du plaisir que vous avez à réaliser ce métier…

Chaque fois, pour moi, c’est un plaisir de partir à la découverte d’une nouvelle entreprise et d’y trouver des pépites insoupçonnées qui pourront servir de ressort à une narration originale.

Mon plaisir au quotidien vient du privilège de pouvoir exercer un métier que j’aime, de pouvoir faire correspondre mes centres d’intérêt avec mon activité professionnelle.

Mais surtout c’est un métier où l’interaction est un ressort important de la communication. C’est vraiment satisfaisant de voir monter l’audience d’une marque, le nombre de candidatures ou le nombre de retours d’une opération promotionnelle. Cela veut dire que notre récit rencontre son public et l’émeut.

Le plaisir au travail vient de son contenu, des relations humaines, mais aussi du challenge à trouver le bon fil à dérouler.

 

Y a-t-il des contextes propices au développement de storytelling dans le cadre des RH notamment ?

Le storytelling permet de valoriser les ressources humaines à de nombreux niveaux de l’entreprise, à différentes étapes de la vie de l’entreprise comme par exemple les anniversaires.

Dans les cas de fusion-acquisition d’entreprise, il permet de trouver les points communs des 2 récits d’entreprise et de créer une nouvelle histoire commune où chaque partie peut retrouver quelques-uns de ses repères. Dans ceux de fermeture, un livre peut aussi être co-écrit pour recueillir les témoignages et continuer à faire vivre l’entreprise autrement.

S’il existe un réseau social interne, il permet de construire un récit commun à tous et dont les salariés seront les ambassadeurs à l’extérieur. Pour la marque employeur, il permet de générer de l’intérêt auprès des candidats, y compris auprès de cibles spécifiques.

Dans un cas où des accords parité homme-femme ont été signés, ils permettent de mettre en œuvre un storytelling qui attire hommes ou femmes vers une activité où ils sont peu représenté(e)s. De même, pour un service qui veut mettre l’accent sur la diversité ou les handicaps.

 

Quels sont vos clients ?

Selon la problématique et la taille de l’entreprise, il s’agira du créateur de l’entreprise, du responsable des ressources humaines, du directeur marketing ou du chef produit.

Les secteurs d’activité vont des métiers du patrimoine, du luxe, de la gourmandise aux laboratoires pharmaceutiques en passant par des start-ups très pointues.

 

Que leur apportez-vous ?

J’apporte aux entreprises des solutions pour créer une « histoire » authentique, originale et innovante, qui se construit dans l’écoute et peut se mettre en place rapidement, étape par étape, dans le respect de la législation et selon les chartes de confidentialité.

Par ailleurs, ayant vécu et travaillé dans plusieurs pays, j’ai une approche multiculturelle qui se révèle de plus en plus importante pour les entreprises qui gèrent des salariés de tous horizons ou dont l’activité est tournée vers l’export.

 

Pouvez-vous m’en dire plus sur l’approche multiculturelle ?

Quand je suis dans un pays, je préfère autant que possible parler la langue. Elle me sert non seulement à communiquer mais surtout à mieux comprendre la culture. C’est ainsi que je suis trilingue (anglais, allemand, japonais) sans oublier le français. J’ai eu la chance de vivre, d’étudier et de travailler dans plusieurs pays (États-Unis, Allemagne, Japon) et de beaucoup voyager. L’écriture de scénarios m’a permis également de collaborer avec plusieurs réalisateurs de différents pays (Maroc, Philippines, Japon, Uruguay). Je pense que cela donne une ouverture d’esprit et une sensibilité aux différences culturelles, importantes pour communiquer aujourd’hui.

 

Un mot pour ceux qui souhaitent exercer le même métier ?

Foncez et écrivez votre propre success story !

 

Merci beaucoup Dominique !

La contacter

Par mail : [email protected]

Par tél : + 33 (0)6 80 63 93 74

Aller sur le site de TasteTelling !